Je n’ai toujours pas internet à la maison ! Je suis clairement en train de gérer une crise intérieure. Plus de e-shopping, plus de consultage de blogs intempestifs, plus de matage de bandes annonces, c’est dur. Je fais saigner mon iPhone et je galère… mais bon jme débrouille en allant profiter de la wifi du McDo (en m’éforçant de ne pas me faire un 4 heures au BigMac). Tout ça pour dire, pas beaucoup de looks en ce moment… je prends quelques clichés avec l'iPhone que je vous montrerai en fin de semaine ! En attendant je voulais vous parler d’un petit article dans le Vogue (du mois d’août) qui mérite toute notre attention.
Ce matin dans le métro je souriais légèrement à la plume de Loïc Prigent qui nous contait la Parisienne. Je ne serai dire si c’est une satire ou un éloge, mais le fait est qu’on reconnait trop bien cette parisienne, admirée des couturiers, fantasmée par toutes les femmes du monde. Quel est ce magnétisme qui vient de la Parisienne ? Coco Chanel, Le Ritz, la baguette de pain, Montmartre, Christian Dior, La Tour Eiffel, la Seine, la mode, les pavés, les ponts, Notre Dame, les Champs Elysées… avons-nous seulement conscience que nous vivons dans la plus belle ville du monde ? Et que ça fait de nous des égéries ? Que nous sommes des femmes libres et enviées ? Que finalement, même si nous n’en avons pas l’impression, nous sommes des snobes qui font la gueule ? Et que nous adorons ça. Admirée et détestée. Admirable et méprisable. Bon évidemment je ne me compte pas tellement dedans (même si je me plais à y croire un peu), je ne suis peut être pas une vraie parisienne et je n’ai rien de bien emblématique, n’empêche que lorsque je déambule dans la capitale mon Vogue à la main, je ne suis peut être pas Inès de la Fressange, mais je suis fière d'être là...
Vogue n°929, "La Parisienne" de Loïc Prigent page 98, à lire absolument...
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| Illustration de Kiraz |
